Conf Plantes et cinéma au festival du livre de Paris

Ravie d’avoir été invitée au Festival du livre de Paris, avec une conférence autour du livre Les plantes font leur cinéma, dans un très beau lieu, l’amphithéâtre du Musée des Arts et métiers.

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Les plantes font leur cinéma sur Gone Hollywood

Merci Gone Hollywood pour ce bel article autour du livre Les plantes font leur cinéma.

« La sortie du livre Les plantes font leur cinéma : De la petite boutique des horreurs à Avatar de Katia Astafieff est l’occasion de refaire le lien entre le monde végétal et les expérimentations esthétiques du cinéma des années 1920-1930, et, à travers l’apport scientifique de son étude, d’explorer à nouveau cette relation féconde entre le devenir signifiant de l’image et l’accomplissement vital de la nature organique. »

L’article entier sur le site de Gone Hollywood :

Au festival du livre de Paris

Rendez-vous dimanche au festival du livre de Paris pour une conférence Plantes et cinéma à 14 h au Musée des Arts et métiers.

https://www.festivaldulivredeparis.fr/fr/programmation/view/435/les-plantes-font-leur-cinema

Les plantes font leur cinéma avec A fond la Science

Merci A fond la science pour cette belle critique de Les plantes font leur cinéma, paru aux éditions Dunod.

Les plantes font leur cinéma !

Parution aujourd’hui le 12 avril 2023 chez Dunod !

Quelle plante a vraiment tué le héros d’Into the wild ?
Quelle est la particularité du rosier du Japon que l’on aperçoit dans un vieux thriller érotique japonais ? Une plante carnivore pourrait-elle vraiment manger un homme, comme dans la Petite boutique des horreurs ? De celles qui séduisent à celles qui tuent, quels sont les pouvoirs réels ou imaginaires, des différentes plantes du grand écran ? Loin d’être des éléments de décor, elles ont parfois un très beau rôle.
Dans ce nouveau livre, Katia Astafieff mêle humour, culture populaire et botanique pour faire découvrir à travers 14 films emblématiques de Sueurs froides d’Alfred Hitchcock à Seul sur Mars de Ridley Scott, en passant par American beauty de Sam Mendes ou La révolte des triffides de Steve Sekely, des plantes aux pouvoirs extraordinaires.

https://www.dunod.com/sciences-techniques/plantes-font-leur-cinema-petite-boutique-horreurs-avatar

Piante cattive dans Il Manifesto

Merci au journal italien Il Manifesto pour la petite critique de Piante cattive (Add editore), la traduction italienne de Mauvaises Graines, la surprenante histoire des plantes qui piquent, qui brulent et qui tuent.

https://ilmanifesto.it/katia-astafieff-pericoli-dalle-piante

Per quanto le piante trasmettano di sé un’immagine mite, esistono casi in cui per difendersi alcune di esse ricorrono a strategie fastidiose o pericolose. Pizzicano, pungono, ustionano, puzzano, producono sostanze irritanti, molecole che danno dipendenza e alterano (anche) le nostre percezioni, perfino veleni letali. Hanno messo a punto nel corso del tempo, assieme con le strategie di diffusione dei semi, straordinarie abilità per difendersi dai predatori e adattarsi all’ambiente. Di queste Piante cattive ci racconta, ironica e documentata, la biologa e scrittrice Katia Astafieff (sottotitolo Storie velenose, urticanti e letali, add editore, pp. 187, € 18,00). Se l’ossido sprigionato dalla cipolla per proteggersi dagli insetti ci fa piangere e dell’urticante ortica comune cantata da Victor Hugo (amo il ragno e amo l’ortica, perché l’uomo li odia) ci si dice che ha una pericolosa parente neozelandese alta cinque metri e provvista di proporzionali peli urticanti, il manzaniglio, in Venezuela chiamato Árbol de la muerte, è lo stesso albero che in Madame Bovary Flaubert evoca come pericolo. Tra quelle che diventano invasive, l’incantevole, ma fotosensibilizzante, panace di Mantegazza, introdotta come ornamentale (ispirò gli artisti Art Nouveau dell’École de Nancy) e presto fuggita dai giardini botanici, come testimonia fin i Genesis in The Return of the Giant Hogweed. Alcune contengono sostanze molto tossiche, fin letali, e altre che alterano la percezione. Per evidenziare come molte di queste piante facciano una sorta di doppio gioco: pericolose, son spesso utili anche per ricavarne cibo o medicinali e, impiegate a scopo terapeutico, arrivano a fornire princìpi attivi anticancerogeni (il caso del tasso). E a ogni buon conto, con i loro poteri insetticidi contro i predatori, molte piante possono diventare un’alternativa valida alla chimica.