
La fille qui voulait voir l’ours est maintenant disponible au Québec. Ravie qu’il se retrouve là où l’aventure a commencé !
Autrice, voyageuse, communicatrice scientifique, passionnée par le monde des plantes et les cultures méconnues
Prochain rendez-vous de la Fille qui voulait voir l’ours, ce sera au Salon du livre de Genève, pour deux rencontres les samedi 21 et dimanche 22 mai prochain.
Rencontre le 21 mai à la librairie le Vent des routes de 11h à 12h
De voyage en péripéties, l’aventurière Katia Astafieff sort à nouveau des sentiers battus, ouvre nos horizons, attise notre curiosité. Après le célèbre, « Comment voyager seule quand on est petite, blonde et aventureuse », elle nous embarque dans une nouvelle expédition au coeur de l’Amérique du Nord. Rencontres inattendues, surprises de taille, l’écrivaine voyageuse n’a pas fini de nous étonner !
Rencontre en duo avec Matylda Hagmajer le 22 mai de 14h30 à 15h30 à la Fondation Baur
Deux aventurières, à des époques différentes, franchissent les obstacles de l’inconnu et partent vers des territoires nouveaux. Ne comptant que sur leur bravoure et leur goût des imprévus, elles relèvent les défis du voyage en milieu hostile. Hier ou aujourd’hui, les aventurières font l’usage du monde. Suivons Matylda Hagmajer et Katia Astafieff !
Tous les invités et le programme :
Elle est partie seule à l’aventure à la rencontre de l’ours !
La Fille qui voulait voir l’ours était l’invitée de l’émission C’est à dire sur France 5 le jeudi 5 mai 2022.
Après le succès de « Comment voyager seule quand on est petite blonde et aventureuse », Katia Astafieff s’est lancée un nouveau défi : rencontrer l’ours noir du Nord-Est canadien. Après plusieurs jours d’aventures rocambolesques dans les montagnes des Appalaches, parviendra-t-elle à son but ? Réponses dans C à dire.
Vidéo disponible jusqu’au 12 mai 2022 :
https://www.france.tv/france-5/c-a-dire/c-a-dire-saison-15/3325711-emission-du-jeudi-5-mai-2022.html
Merci Malika pour l’interview paru sur le site de France 3 Grand Est :
« Une fois de plus, Katia livre un récit d’aventures semé de malice et d’humour. La botaniste décrit aussi la nature comme elle sait si bien le faire. Dans ce livre, il y a un regard sur la nature et sur la nature humaine : « On se rend compte qu’on est capable de faire des choses qu’on ne pensait pas faire. Je n’avais pas idée de la difficulté du parcours. J’avais sous-estimé la difficulté d’arpenter les Appalaches. On va au bout de soi-même et on se rend compte que c’est possible. » Katia a aussi rencontré des humains, certains très hospitaliers d’autres un peu moins. Elle voulait voir l’ours. Elle a vu la nature dans toute sa diversité. »
Tout l’article :